Des infrastructures dépérissent au centre d’Oran
Dans l’attente du projet de modernisation
Des infrastructures dépérissent au centre d’Oran
Alors que le projet de modernisation de la wilaya d’Oran tant cher au wali Abdelmalek Boudiaf se trouve au niveau de la présidence pour sa préface et obtenir le feu vert, beaucoup d’infrastructures d’envergure sont à l’état d’abandon et dépérissent. A l’exemple des ex-galeries Algériennes et avant Galeries de France se situant dans la plus grande artère de la ville dont l’entreprise gestionnaire l’EDGO a été liquidée en 1998 et qui depuis ce temps est livrée aux aléas de dame nature. A voir la photo ci-contre, le commentaire est superflu. Il est vrai qu’on parlé pompeusement d’un musée des arts modernes que madame la ministre de la culture souhaiterait installer dans ses murs, mais parler est gratuit et ne coûte rien. Et en attendant la façade clochardise et enlaidit la célèbre rue d’Arzew. L’autre exemple est le cinéma Marhaba (ex-Escurial) qui était un bijou « ornant » le boulevard Emir Abdelkader (ex-Georges Clemenceau) en état de décrépitude très avancée sans que personne n’y fasse attention ou ne s’en offusque (la photo ci-contre est plus qu’illustrative). Pourtant pratiquement tous les responsables passent par ces deux axes importants de la ville. Nous, en simples citoyens que nous sommes, cette situation nous rend malades et nous sommes en droit de nous interroger sur la manière usitée par ces responsables dans la gestion urbanistique. S’en foutent-ils ? Peut-être. Car, à ce jour et en nous triturons les méninges, nous n’avons pas encore trouvé d’explications plausibles. Enfin, nous nous sommes tant habitués à la gabegie que cela est devenu partie intégrante du décor ambiant.
HAKIM
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