Oran- News, Le Blog de Hakim

Les clochards de la presse Oranaise

La presse Oranaise recèle en son sein de véritables  professionnels dont personne ne peut nier les compétences mais malheureusement et à voir certains se prenant pour des journalistes et même un éditeur qui se prend au sérieux en dépit du fait qu'il n'a rien à voir avec la profession si ce n'était le valheureux papa qui lui a laissé deux journaux en héritage. Non, pas deux journaux mais des parts que le rejeton a vite fait de dilapider en habitant carrément dans un bar situé dans la rue Larbi Ben M'hidi avec un expulsé d'Allemagne qui lui sert  de rédacteur en chef. En effet, ces deux cocos qui trainent des procès de diffamation intentés par plusieurs responsables dont l'ancien  wali Sekrane, le directeur des affaires religieuses ou encore l'APC d'Oran, pour ne citer que ceux-là, se permettent  d'écrire avec la plume d'un de leurs mioches apprenti journaleux,   des informations mensongères sur d'intègres militants et professionnels  qu'ils n'arriveront jamais  à égaler dans tous les domaines. D'ailleurs l'on se demande pourquoi puisque   ceux qui sont visés vivent dans la planète des grands et ne pensent même pas qu'ils existent et ne les connaissent même pas. Encore que les papiers ne sont même pas signés par manque de courage et pa           r peur d'etre confronté aux véritables hommes d'ailleurs connus à Oran pour leur militantisme dont le parcours est jalonné de hauts faits politiques et de positions qu'ils ne pourront jamais avoir, alors que les deux cocos étaient encore en culottes courtes. Le détenteur de parts du torchon en question, un ivrogne arrêté par la police il y a quelques mois pour conduite en état d'ivresse  est en passe (mois de mars) d'être vidé du local qui l'abrite pour n'avoir pas pu honorer les dettes du loyer et l'associé majoritaire réclame des comptes pour un trou de plusieurs milliards. Nous en restons là parce qu'on allant plus loin  nous risquons de donner de l'importance à de la foutaise et à des clochards qui ne méritent pas à une telle attention.  A bon entendeur salut !

Lokmane