Oran est un moteur grippé qu’il va falloir dégraisser
Abdelmalek Boudiaf lors du briefing de jeudi
Oran est un moteur grippé qu’il va falloir dégraisser
Le wali d’Oran, qui il faut le dire, est très apprécié par ses administrés s’est, enfin rendu compte que la wilaya d’Oran n’est pas tout à fait comme les autres et il l’a assimilé à un moteur diesel grippé qu’il faut faire démarrer et pour cela il se dit prêt à tout faire même s’il doit faire plusieurs tentatives. Mais j’y arriverai, a t-il asséné aux membres de l’exécutif, jeudi en fin de journée. Une chose à rappeler. Abdelmalek Boudiaf doit bien se souvenir quand des citoyens avisés l’ont averti aux premiers moments de son arrivée qu’Oran est effectivement une machine, plus qu’un moteur qu’il fallait dégripper en remplaçant les pièces usées même si pour certaines « soudées » par la crasse, il faut user d’un marteau. Un marteau bien spécial, bien sûr.
Hakim
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