Les licences de boissons alcoolisées se monnaient cher à la corniche.
Les licences de boissons alcoolisées se monnaient cher à la corniche.

Dès son arrivée à Oran fin 2005 le wali a donné tour de vis à l'attribution des licences de catégorie 4 destinées à la commercialisation de boissons alcoolisées dans les restaurants et autres dancings et cette mesure a chamboulé bien des habitudes et de projets. Après l'annulation de l'autorisation d'une boite de nuit à St Germain et d'un cabaret à la Madrague qui a changé de mains à deux reprises, il y a quelques temps, tout ce que compte la corniche comme « spécialisé en la matière » a retenu … son ventre. De peur de subir le même sort. Un nouveau dans le « métier » de l'investissement dont on ne sait l'origine de l'argent dont il dispose, a acquis un terrain pas loin de Cap Falcon pour en faire un complexe et il s'est empressé de livrer d'abord le Bar-Restaurant pour se renflouer et continuer la construction du reste du projet. Toutefois il buta sur le refus des services concernés qui lui notifièrent une fin de non-recevoir. Notre investisseur ne cesse dit-on de solliciter des connaissances pour intercéder en sa faveur auprès des responsables, mais en vain. On affirme qu'il prêt à mettre la main à la poche pour ce faire. Pour une fois l'intrangisance des autorités est la bienvenue et quand la volonté existe beaucoup de choses peuvent se réaliser. Un autre nouveau venu sur la corniche gère un Bar-Restaurant du coté de Bomo-Plage commence à faire parler de lui ces derniers temps et on signale la fréquentation des lieux par la gent féminine très présente qu'on dit très disponible aussi. Le propriétaire aurait la même enseigne en Kabylie et il n'est pas surprenant de tomber sur une ou toutes les filles fréquentant les deux endroits, dans les deux wilayas. N'est-ce pas là répréhensible ? Attiré par la corniche, le concerné a étendu ses activités Il vient d'acquérir un autre établissement situé pas loin du premier. Une virée du coté de la corniche peut s'avérer intéressante à plus d'un titre pour les services concernés.Et un contrôle strict de cette activité est chaudement recommandé.